La naissance de mon bébé noah

postée
\ Accouchement du 11 juillet 2008
t Durée : 21 heures
Noah

Enfin je trouve quelques grosses minutes garder une trace écrite de mon accouchement. Ça va juste être un petit peu long !

Un peu de stress

Le 8 juillet, j'avais remarqué que Noah bougeait beaucoup moins dans mon ventre. Ça m'avait inquiétée mais j'avais pris mon mal en patience et décidé d'attendre mon rendez-vous avec mon gynéco du lendemain. Le Mercredi 9 juillet j'avais donc mon rendez-vous hebdomadaire avec mon gynéco. Il m'avait dit que mon col n'avait toujours pas bougé, long et fermé, mais que la tête de Noah était descendue. Concernant le fait que Noah bougeait moins, il m'a demandé de faire un examen de stress l'après-midi. L'après-midi venue, lors de l'examen, j'ai eu droit à un monitoring et une petite écho. Noah allait bien et avait juste décidé d'être plus calme. Peut-être prenait-il des forces pour le grand jour. Bon...

L'après-midi même (9 juillet toujours), j'avais décidé d'en finir avec la préparation de la chambre de Noah. J'ai donc lavé et repassé ses derniers vêtements, refait son lit et ranger toutes les affaires qui trainaient. Après quelques heures à m'affairer, tout était nickel. Le soir avant de me coucher, j'ai eu ma petite discussion avec Noah, je lui ai demandé de sortir le lendemain, de me laisser passer une bonne nuit. J'ai dit à Thomas de ne pas aller au boulot le lendemain parce que j'allais perdre les eaux le lendemain à 10h. Il a bien ri !

Pendant la nuit, j'ai eu pas mal de contractions vraiment très fortes mais pas douloureuses du tout. Noah s'est remis à gigoter très fort pendant la nuit. J'étais contente.

Le lendemain, 10 juillet, je me suis réveillée à 9h30. je me disais que j'allais certainement perdre les eaux, en tout cas j'en rêvais. J'avais quelques contractions comme d'habitude. Rien de douloureux et de répétitif. Je discutais avec Thomas et j'ai senti comme quelque chose sortir de mon vagin. Ça a attiré mon attention mais je me suis dit que c'était peur-être juste des pertes vaginales abondantes. J'en avais un peu l'habitude.

Perte des eaux

À 10h, j'ai décidé de me lever pour aller aux toilettes et à peine de bout, j'ai senti un liquide chaud dégouliné le long de mes cuisses. J'en croyais pas mes yeux. Calmement j'ai dit à Thomas que je perdais les eaux. On a allumé la lumière et il y avait de petites flaques d'eau ici et là. Je suis donc allée prendre ma douche. J'étais vraiment surprise que les choses se soient passées comme je le voulais. J'étais très excitée parce que la rupture de la poche des eaux est un signe de début de travail évident, sans aucun point de retour. Nous allions rencontrer Noah très bientôt ! Dans le même temps j'étais calme, un petit peu anxieuse également, je me demandais comment les choses allaient se passer.

Après avoir pris ma douche, Thomas a pris la sienne. J'ai passé un coup de fil à mon gynéco qui m'a demandé de passer le voir de suite. Il était 11h. On a fait des provisions de jus de pommes, bonbons haribos et biscuits. On a pris les sacs de maternité et tous les appareils électroniques puis on est parti chez le gynéco en passant par la case boulangerie où j'ai pris des viennoiseries.

Arrivés chez le gynéco vers 11h20, il m'a examinée. J'étais dilatée à 2cm ! J'étais contente. Il a vérifié qu'il s'agissait bien du liquide amniotique, et c'était le cas. Il nous a demandé d'aller à la maternité. Il nous a dit qu'on me mettrait sous perfusion d'ocytocine afin d'accélérer le travail, ce que j'ai refusé lui disant que je voulais laisser les choses aller naturellement. Il m'a dit que si je n'avais pas accouché le lendemain à 10h, on me ferait certainement une césarienne. Une fois la poche des eaux rompue, le risque d'infection est élevé.

Nous sommes donc allés à la maternité. Là-bas, on m'a monitorée pendant 2h. J'avais des contractions toutes les 5 minutes qui duraient presque une minute. Je ne souffrais pas du tout. L'infirmière nous a dit qu'on pouvait rentrer chez nous et attendre que les contractions deviennent plus fortes.

Nous sommes donc rentrés chez nous pendant 3h. À la maison j'ai pris le temps de manger un plat de pâtes à la bolognaise. On a écouté de la musique. J'étais sur ma swiss ball et je faisais des mouvements du bassin. Les contractions étaient plus fortes mais ne me faisaient toujours pas mal. Je continuais de perdre du liquide amniotique par épisode. À 16h00 en allant aux toilettes, j'ai vu du sang dans mes pertes ce qui m'a un ptit peu inquiétée. Nous sommes donc retournés à la maternité où j'ai emmené ma swiss ball.

Arrivés à la maternité, on m'a examinée puis monitorée. J'étais dilatée à 4 cm, en plein travail actif. Il était 16h30 et je ne souffrais toujours pas. On était maintenant en attente pour qu'on nous monte dans ma chambre d'accouchement. On écoutait de la musique, on faisait des petits films, je passais des coups de fil, assise sur ma swiss ball, on prenait des photos. On rêvait de Noah. J'étais détendue. Entre temps mon gynéco est passé me voir. Il nous a dit que je devrai accoucher vers minuit ou une heure du mat. On était content.

Ça commence à faire mal

À 18h, les contractions ont commencé à devenir un petit peu douloureuses. Je ne pouvais plus parler quand une contraction commençait mais la douleur était vraiment gérable, genre 3/10. Ça allait.

Vers 19h, j'ai vomi tout ce que j'avais dans le ventre à la suite d'un mal soudain d'estomac. Niveau contraction, ça allait toujours.

À 20h, notre chambre était prête, nous nous y sommes rendus avec tous nos bagages installés sur le fauteuil roulant qui aurait dû être le mien. Arrivés dans la chambre, on m'a examiné, j'étais dilatée à 6cm. Le travail suivait vraiment bien son cours et je n'avais pas beaucoup souffert jusque là.

À 20h30, les contractions ont commencé à devenir vraiment douloureuses. Je serrai la main de Thomas à chaque fois. J'avais besoin d'avoir toujours une de ses mains dans la mienne. La douleur était d'environ 6/10. Entre les contractions je buvais beaucoup de jus de pommes.

À 23h, les contraction étaient à 8/10 au niveau de la douleur. J'étais dilatée à 8cm. Selon mon gynéco, je devais accoucher, du moins commencer à pousser vers 1h du matin. Il avait demandé à ce qu'on me mette sous ocytocine ce que j'ai accepté à condition que la dose soit la plus faible possible.

À partir de 23h30 je souffrais intensément. J'avais déjà atteint le 10/10. Allez comprendre la suite... Pendant les contractions j'émettais des sons graves genre "aaaaaaaaaaaaaaa", je gémissais également. La douleur était vraiment insoutenable. J'écrasais les mains de Thomas. Pendant les moments de répits, Thomas m'encourageait, me disait que ça allait aller et qu'on y était presque. Et je lui ai répondu : "Et c'est moi qui fait tout le travail !" et on éclaté de rire. On a eu droit à 3 petits fous rire puis mon état psychologique s'est dégradé.

Vers 00h30, les contractions étaient rudes, j'avais déjà l'impression que j'allais mourir. J'éclatais en sanglot toutes les 3 ou 4 contractions. Je pleurais comme une enfant je disais "maman" à tout va. Thomas me consolait comme une enfant, puis je me ressaisissais. Il y avait des contractions que je gérais vraiment bien, je respirais, je me focussais sur un point, puis il y en a d'autres où je gémissais fort. Mes gémissement étaient de plus en plus forts. Dans ma tête je pensais à la péridurale, mais je n'osais pas prononcer le mot, je ne voulais pas.

À 1h00, après examen, j'étais toujours à 8cm. En 2h de souffrance, rien n'avait bougé. Je me suis mise à pleurer de nouveau. Chaque contraction était une épreuve. J'avais mal au bas ventre. C'était horrible.

J'ai commencé à avoir de nouveau la nausée. Je crachais sans arrêt, puis j'ai vomi à nouveau. Il n'y avait pas grand chose.

Ça commence à faire long...

À 2h00, après examen, j'étais toujours à 8cm ! Je commençais à désespérer. Le gynéco savait que je ne voulais pas de péridurale et que je ne voulais pas en entendre parler. Je ne voulais pas qu'on prononce ce mot parce que sinon j'allais flancher. La douleur était à 13/10. Je ne m'attendais pas à souffrir autant.

Le gynéco m'a dit qu'on pouvait me donner des anti-douleurs, sorte de doliprane par intraveineuse, ce que j'ai accepté. Les contractions sont ainsi devenues un peu plus supportables, au point où je m'endormais légèrement entre chaque contraction et me faisait réveiller par la douleur de la contraction.

À 3h00, toujours à 8cm. Maudits 8cm ! Les anti douleurs ne faisaient plus effet. La douleur étaient là, bien présentes. Je souffrais le martyre, je pleurais de plus en plus. Le gynéco a demandé qu'on augmente les doses d'ocytocines. Je n'étais pas prête de sortir de mon martyre.

Les contractions sont devenues encore plus douloureuses et beaucoup plus fortes. La douleur est juste indescriptible. Je criais à chaque contraction. C'était horrible. J'écrasais les mains et bras de Thomas. Lui me regardait souffrir sans rien pouvoir faire. Il m'encourageait comme il pouvait.

La sage femme, voulant m'aider, me donner quelques conseils au niveau respiration. Je l'ai envoyé chier en lui disant que ça marchait pas. Je criais de douleur.

À 4h00, j'étais à 9cm. L'ocytocine faisait effet et je le ressentais vraiment. Je n'en pouvais plus. J'étais fatiguée. La douleur me paralysait.

À 5h00. J'étais à 10cm. Contente. La poussée allait pouvoir commencer.

La dernière ligne droite

Au départ, je voulais accoucher en squat ou debout. Mais après 19h de travail, j'avais changé d'avis et je suis restée en position allongée.

Le gynéco m'a expliqué comment pousser efficacement :

  • le menton sur la poitrine
  • les épaules décollées du lit
  • j'attrape mes jambes que je ramène vers moi
  • pousser avec le ventre et pas le visage
  • bloquer sa respiration pendant la poussée.
  • faire 3 poussées pendant une contraction.

J'ai donc eu ma 1ère contraction pour pousser. Je ne le faisais pas très bien. J'avais l'impression que rien ne se passait et j'étais maladroite. Le gynéco m'a dit que je le faisais bien. Bof.

Puis la 2ème contraction est arrivée. J'ai bien fait la 1ère poussée et à la 2ème j'ai eu une douleur tellement aiguë que mes jambes se sont mises à trembler et j'ai hurlé de toutes mes forces tellement j'avais mal. J'ai refusé de faire la 3ème poussée. Je hurlais et me tortillais dans tous les sens. Thomas a commencé a paniqué vu comment je réagissais. Je pleurais. Je hurlais que ça faisait mal. J'étais à 20/10 de douleurs.

J'ai alors demandé à la sage femme combien de temps ça pouvais durer avant que Noah n'arrive. Puis elle m'a dit que c'est 2h en moyenne pour un premier enfant. Et là j'ai commencé à pleurer de nouveau. Je ne poussais que depuis 15 minutes et les poussées me paraissaient infaisables.

Le truc, c'est que lorsqu'une contraction arrive on n'a pas 36 solutions. Soit on souffre, soit on pousse.

Lorsqu'est arrivée la 3ème contraction, au milieu de la deuxième poussée, j'ai commencé à partir en cacahuète tellement la douleur était forte. J'ai commencé à vouloir fermer les jambes, Thomas et la sage femme devaient me les tenir. Je voulais quitter la pièce. Je disais à Thomas : "aide moi, aide moi, j'ai mal, j'y arrive pas, c'est trop dur, je veux partir" et je me rapprochais de plus en plus du bord du lit. Je disais à la sage femme "à l'aide, à l'aide, donnez moi quelque chose". Je pleurais. Thomas m'engueulait et me disait qu'il fallait que je pousse. Et plus les contractions s'enchainaient, plus j'étais mal. Je ne faisais jamais 3 poussées. Je leur disais que j'allais m'évanouir. Je grelottais. J'avais froid, et le coup d'après chaud.

Entre chaque contraction, Thomas m'aspergeait avec le brumisateur et je prononçais le mot "drink". La sage femme me ramenait du jus de pomme. Je prenais une gorgée grâce à la paille puis je m'effondrais sur le lit.

La sage femme me parlait de gérer la douleur par la respiration. Je l'envoyais chier à chaque fois. Toutes ces théories lors des cours d'accouchement. Du bullshit en barre !

Puis au bout d'une heure de poussée, je commençais à m'endormir entre les contractions. Bien sûr il s'agissait d'un sommeil très léger, puisqu'à chaque réveil je devais pousser.

À un moment, Thomas a regardé ce qui se passait en bas et a voulu le partager avec moi. Je lui ai dit que je ne voulais pas le savoir. Je pense qu'il voyait un bout de tête. Mais je sais combien ça peut prendre du temps entre le moment ou on voit la tête et celui où elle sort. La sage femme me disait que je me débrouillais bien, elle était très enthousiaste. À chaque fois qu'elle voulait me dire ce qui se passait, je disais à Thomas de lui dire de se taire.

Les poussées étaient rudes. Thomas m'aidait en attrapant une de mes jambes. Pendant que je poussais, j'attrapais les vêtements de la sage femme et je tirais sur le cou de Thomas. Le pauvre ! Ça me paraissait interminable, mais dans le même temps je n'avais plus la notion du temps. J'étais comme endormie. En même temps il était 6h et quelques et ça faisait presque 24h que j'étais réveillée et la souffrance des ces dernières heures m'avaient bien amochée.

Il m'arrivait de réussir à faire le 3 poussées et des fois je n'en faisais que 2. Mais la plupart du temps je finissais en tremblant de douleur.

Le gynéco faisait couler du liquide sur mon vagin et avec ses doigts essayait d'ouvrir en faisant tourner son doigt autour. C'était douloureux. J'avais l'impression qu'il me déchirait le vagin. Je criais de douleur.

J'étais vraiment désespérée, mais je n'avais pas d'autres choix que de pousser. Je voulais que ça se termine vite. Dans ma tête je regrettais de ne pas avoir pris de péridurale. Mais je poussais.

À 15 minutes de la fin, Thomas m'a dit que c'était bientôt fini. Effectivement, mon gynéco s'est habillé avec sa blouse, a mis des lunettes et sorti tous ses outils. Je sentais que ça s'affairait et que justement le moment allait bientôt arriver. Du coup j'ai eu un regain d'énergie.

Mes poussées devenaient vraiment efficaces. J'allais jusqu'au bout, malgré la douleur. J'ai commencé à sentir la tête sortir. Là, le gynéco m'a dit qu'il fallait que je fasse vraiment bien les poussées si je voulais qu'il sorte vite.

Alors que je poussais, je sentais bien que j'étais en train de me déchirer, mais je poussais quand même. Je poussais de toute mes forces et à un moment, j'ai senti que la tête est sortie. On m'a demandé d'arrêter de pousser et je disais que je n'arrivais pas à m'arrêter, qu'il fallait que je pousse. D'après ce que Thomas m'a dit, le cordon ombilical était autour du cou de Noah, mais rien de dangereux puisque le gynéco l'a retiré en quelques secondes. Mais je poussais de façon incontrôlée, je n'arrivais pas à me retenir. Et d'un coup, j'ai senti le reste du corps sortir et plein de liquide avec. Je l'ai entendu pousser son premier cri.

Noah est né à 6h53 le 11 juillet 2008.

On l'a directement posé sur moi. Le contact avec son corps chaud et tout visqueux a été magique. Je me souviens encore de ce que j'ai ressenti. Il s'est arrêté de pleurer au bout de quelques secondes puis s'est mis à ouvrir grand ses yeux tout brillants.

Quant à moi, je ne l'ai pas quitté des yeux, je lui caressais le corps et le découvrais.

J'ai accouché dans la douleur, sans péridurale, mais je l'ai fait. Pour mon bien et celui du bébé. Je suis fière de moi.

Ça aura duré en tout 21h. Je m'en suis sorti avec 2 déchirures classiques, selon le gynéco.

Noah a pris sa première tétée 20 à 30 minutes après sa naissance. 2h après l'accouchement, j'étais debout, nous avons pu lui donner son premier bain et l'habiller puis avons rejoint notre chambre postpartum.

Voilà donc mon récit d'accouchement. Un petit peu long je l'avoue, mais au moins c'est écrit et ça le restera.

Bizzarement, malgré la douleur, j'en garde un souvenir vraiment inoubliable et émouvant. Et si c'était à refaire, je le referai dans les mêmes conditions.

Me2
3916 pts

Commentaires

  • Thomas Merci pour ce superbe récit
    il y a presque 12 ans
  • Lilou OMG, je t'admire d'avoir tenu sans péridurale ! Moi aussi je voudrais tenter sans pour le 2e, j'espere tenir le coup :)
    il y a presque 12 ans
  • Nono C'est beaucoup de préparation mentale. Et de soutien pendant l'accouchement. Par exemple, je ne m'étais pas dit que j'allais "essayer d'accoucher sans péridurale" mais plutôt que "j'allais accoucher sans péri". Pour moi, ça n'était pas une option (sauf complication). Donc je n'avais pas le choix, du moins je ne m'en étais pas laissé :-) Si tu veux accoucher sans péridurale, tu sauras le faire, tu trouveras les ressources nécessaires même en pleine douleur. Je te souhaite d'avoir l'accouchement que tu désires!
    il y a presque 12 ans
  • dophinel La douleur est vraiment très différente d'une femme à l'autre, parce que moi, je dirais que je suis toujours restée à 7/10 !
    il y a environ 11 ans
  • Nono Oui, on n'est vraiment pas égales....
    il y a environ 11 ans
  • Amina Merci beaucoup pour ce récit. Car en temps que future maman pour la première fois et désirant un accouchement physiologique, on a aussi besoin de ce genre de récit détaillé. Certes les récits d'accouchements qui se sont déroulés assez rapidement aident à dédramatiser ce jour, mais pour se préparer psychologiquement on a aussi besoin d'un récit comment celui-ci où l'intensité de la douleur est bien décrit et où on apprend que cette douleur il faudra peut-être devoir la supporter pendant de très longues heures si le col ne se dilate pas vite... Alors encore merci pour ce récit que je relirai plusieurs fois le long de ma grossesse, car personnellement je trouve que c'est une excellente préparation psychologique. Et bravo pour votre courage et votre détermination!
    il y a presque 11 ans
  • Nono Merci beaucoup Amina. Je suis contente qu'il t'inspire. moi aussi je trouve que la lecture de récit est une bonne façon de se préparer. Je suis certaine que tu y arriveras si dans ta tête tu es vraiment décidée à accoucher sans péri. Je pense que si je n'avais pas été aussi sûre, j'aurai demandé la péri quand le travail a commencé à stagner. Avec du recul, je me rends compte que j'étais déterminée et ça m'a aidée. J'espère pouvoir lire ton récit d'ici quelques mois :-) Je te souhaite une belle et douce grossesse. Et merci encore pour ton commentaire.
    il y a presque 11 ans
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